Le secteur des infrastructures et de l’énergie est en pleine transformation. Face aux défis du développement durable, de l’innovation technologique et de la transition énergétique, les entreprises doivent repenser leurs stratégies pour attirer et retenir les talents capables de mener ces évolutions.
Dans un contexte où la modernisation des infrastructures et l’optimisation des ressources énergétiques sont des enjeux majeurs, le recrutement dans ces domaines devient de plus en plus exigeant. Quels sont les nouveaux profils recherchés ? Quelles compétences sont désormais incontournables ? Comment les entreprises peuvent-elles s’adapter à ces mutations ? Décryptage des défis du recrutement dans le secteur des infrastructures et de l’énergie.
Un secteur en pleine mutation : quelles conséquences sur le recrutement ?
L’accélération de la transition énergétique pousse les acteurs du secteur à renouveler leurs approches et leurs stratégies de recrutement.
L’impact des évolutions réglementaires et technologiques
Les réglementations en matière d’énergie renouvelable, d’efficacité énergétique et d’aménagement durable obligent les entreprises à recruter des experts capables de comprendre et d’anticiper ces changements. Les projets d’infrastructures doivent désormais intégrer des critères environnementaux stricts, ce qui nécessite des compétences techniques pointues en ingénierie durable, gestion énergétique et finance verte.
La recherche de nouveaux talents pour accompagner la transformation
Les métiers de l’énergie et des infrastructures évoluent rapidement. Les entreprises doivent se tourner vers des profils possédant :
Une expertise en transition énergétique (énergies renouvelables, efficacité énergétique, stockage de l’énergie).
Une vision stratégique sur la gestion des actifs et des projets (asset management, project finance).
Une capacité à intégrer l’innovation technologique dans les infrastructures (smart grids, digitalisation de la gestion des ressources).
Trouver ces talents devient un véritable défi, nécessitant une approche ciblée et un recrutement ultra-qualifié.
Les postes clés du recrutement infrastructures et énergie
Dans un secteur où les compétences techniques et financières sont primordiales, certaines fonctions sont devenues essentielles pour accompagner la transition et le développement des infrastructures.
Directeur d’Investissement
Responsable de la gestion des investissements dans les infrastructures et les énergies renouvelables.
Évalue les opportunités, optimise les actifs et s’assure de la rentabilité des projets.
Doit maîtriser la finance verte et les nouvelles réglementations environnementales.
Directeur Project Finance
Joue un rôle clé dans le montage financier des projets énergétiques et d’infrastructures.
Assure la viabilité économique des projets en sécurisant les financements et en gérant les relations avec les investisseurs.
Expertise en modélisation financière et en négociation contractuelle indispensable.
Head of Business Development
Définit la stratégie de croissance et d’expansion des entreprises du secteur.
Identifie les nouvelles opportunités de développement dans l’énergie et les infrastructures durables.
Pilote la transformation digitale et les nouveaux modèles économiques liés aux technologies vertes.
Asset Manager
Supervise et optimise la gestion des actifs en énergie et infrastructures.
Assure la rentabilité et la durabilité des investissements en alignant les stratégies économiques et environnementales.
Travailler en lien avec les équipes financières et techniques pour maximiser la performance des infrastructures existantes.
Le recrutement pour ces postes exige une approche ciblée et une parfaite compréhension des enjeux du secteur. C’est là qu’un cabinet spécialisé comme Ealing Executive Search joue un rôle clé.
Ealing Executive Search : un expert du recrutement dans les infrastructures et l’énergie
Face aux défis de la transition énergétique et de la modernisation des infrastructures, les entreprises doivent s’entourer des meilleurs talents. C’est ici que l’expertise d’Ealing Executive Search fait la différence.
Pourquoi faire appel à Ealing Executive Search ?
✅ Une expertise sectorielle reconnue : une parfaite connaissance des métiers de l’énergie et des infrastructures. ✅ Un réseau de talents qualifiés : accès aux profils les plus adaptés aux enjeux actuels du secteur. ✅ Une approche sur mesure et confidentielle : chaque recrutement est ajusté aux besoins spécifiques des entreprises. ✅ Une capacité à identifier les leaders de demain : sélection de candidats capables de piloter des projets stratégiques et d’accompagner le changement.
En collaborant avec Ealing Executive Search, les entreprises bénéficient d’une méthodologie de recrutement performante, permettant d’identifier les candidats qui sauront transformer le secteur des infrastructures et de l’énergie.
Anticiper le recrutement pour accompagner la transition énergétique
La modernisation des infrastructures et la transition énergétique imposent aux entreprises du secteur de s’entourer de profils hautement qualifiés. Face aux évolutions rapides des réglementations et aux nouveaux enjeux technologiques, recruter les bons talents est plus que jamais un facteur clé de succès.
Avec son expertise en recrutement infrastructures et énergie, Ealing Executive Search accompagne les entreprises dans leur recherche de dirigeants et d’experts capables de relever ces défis.
Besoin de recruter des talents spécialisés dans l’énergie et les infrastructures ? Contactez Ealing Executive Search dès aujourd’hui et bénéficiez d’un accompagnement personnalisé pour identifier les profils qui feront la différence.
L’épargne d’entreprise est un dispositif permettant aux salariés et aux dirigeants d’accéder à des solutions de placement avantageuses, souvent assorties d’avantages fiscaux et sociaux. Que ce soit pour préparer sa retraite, financer un projet ou faire fructifier son épargne, ces dispositifs offrent des opportunités intéressantes.
Alors, quelles sont les meilleures solutions d’épargne en entreprise ? Comment choisir la plus adaptée à ses besoins ? Décryptage des dispositifs incontournables.
L’épargne : un pilier essentiel pour sécuriser son avenir
L’épargne est un levier financier indispensable pour faire face aux imprévus, financer des projets ou préparer sa retraite en savoir plus sur les erreurs à ne pas commettre pour commencer à épargner vous trouverez sur https://levalentin.fr/ des conseils et analyses sur ce qui ce fait fait de mieux pour votre épargne en 2025. Que l’on soit salarié, entrepreneur ou indépendant, mettre de l’argent de côté régulièrement permet de sécuriser son avenir et d’anticiper les besoins futurs.
Sécuriser ses finances personnelles
Constituer une épargne de précaution en cas d’imprévu (perte d’emploi, réparation urgente, problème de santé).
Se protéger contre les aléas économiques et éviter l’endettement excessif.
Préparer des projets à moyen et long terme
Achat immobilier, création d’entreprise, financement des études des enfants…
Financer un projet personnel sans recourir à un prêt bancaire.
Anticiper la retraite et compléter ses revenus
L’épargne permet de préparer sereinement sa retraite en constituant un capital ou une rente complémentaire.
L’évolution des régimes de retraite impose de ne plus compter uniquement sur le système public et de se constituer une épargne privée.
Faire fructifier son capital
Placer son argent sur des produits financiers permet de générer des intérêts et des plus-values.
Diversifier son épargne entre placements sûrs (livrets, assurance-vie) et plus dynamiques (actions, immobilier, épargne salariale, PER).
Le Plan d’Épargne Entreprise (PEE) : une épargne à moyen terme
Le PEE (Plan d’Épargne Entreprise) est une solution accessible aux salariés qui souhaitent constituer une épargne à moyen terme (minimum 5 ans) tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.
Comment ça fonctionne ?
Le salarié y verse des sommes issues de son épargne personnelle, de l’intéressement ou de la participation.
L’entreprise peut abonder (ajouter un complément) jusqu’à 300 % des versements du salarié dans la limite de 3 519,36 € par an en 2024.
Les fonds sont bloqués pendant 5 ans, sauf cas de déblocage anticipé (achat immobilier, mariage, naissance, etc.).
Avantages :
Exonération d’impôt sur le revenu sur les gains et les abondements.
Une large gamme de supports d’investissement (fonds diversifiés, actions de l’entreprise, SICAV, etc.).
Un bon moyen de se constituer un capital à moyen terme.
Le Plan d’Épargne Retraite Collectif (PER Collectif) : Anticiper l’avenir
Le PER Collectif (anciennement Perco) est un dispositif d’épargne salariale dédié à la retraite. Il permet aux salariés d’épargner tout au long de leur carrière pour obtenir un capital ou une rente au moment de la retraite.
Comment ça fonctionne ?
Le salarié effectue des versements volontaires (épargne personnelle, intéressement, participation).
L’entreprise peut compléter via un abondement dans la limite de 16 % du PASS (Plafond Annuel de la Sécurité Sociale), soit environ 7 351 € en 2024.
Les fonds sont bloqués jusqu’à la retraite, sauf en cas de déblocage anticipé (achat de résidence principale, décès du conjoint, invalidité, etc.).
Avantages :
Fiscalité avantageuse : Exonération d’impôt sur le revenu pour les versements volontaires.
Capital ou rente à la retraite : Au choix, selon les besoins du salarié.
L’argent est bloqué jusqu’à la retraite, sauf cas exceptionnels.
La rentabilité dépend des supports d’investissement choisis.
L’intéressement et la participation : Un complément de revenu attractif
L’intéressement est un dispositif facultatif qui permet à l’entreprise de verser une prime collective aux salariés, en fonction des résultats ou des objectifs atteints.
Caractéristiques :
Son montant dépend des performances de l’entreprise.
Le salarié peut le percevoir directement ou le placer sur un PEE/PER Collectif pour bénéficier d’exonérations fiscales.
Avantages :
Une prime qui ne dépend pas du salaire.
Exonération d’impôt sur le revenu si elle est placée sur un PEE/PER.
La participation : Une redistribution des bénéfices
La participation est un dispositif obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés. Elle consiste à redistribuer une partie des bénéfices aux salariés.
Le Compte Épargne Temps (CET) : Transformer ses jours de congés en épargne
Le CET (Compte Épargne Temps) permet aux salariés d’épargner leurs jours de congés non pris ou une partie de leur rémunération pour financer un projet futur ou la retraite.
Comment ça fonctionne ?
Le salarié peut y verser ses jours de congés non pris, des primes ou une partie de son salaire.
Les sommes peuvent être récupérées sous forme de rémunération différée ou placées sur un PER pour préparer la retraite.
Avantages :
Souplesse : Utilisation possible pour financer un congé sabbatique, une formation, ou compléter ses revenus.
Optimisation fiscale : En le transférant sur un PER Collectif, les sommes sont exonérées d’impôt sur le revenu.
L’actionnariat salarié : investir dans son entreprise
Certaines entreprises proposent à leurs salariés d’acheter des actions à un prix préférentiel via des plans d’épargne en actionnariat salarié.
Comment ça fonctionne ?
L’entreprise propose un prix avantageux ou un abondement sur l’achat d’actions.
Les gains sont exonérés d’impôt si les actions sont conservées au moins 5 ans.
Avantages :
Possibilité de réaliser des plus-values si l’entreprise performe bien.
Avantages fiscaux en cas de détention longue.
Risques :
Le capital dépend de la performance de l’entreprise.
Une épargne avantageuse pour les salariés
L’épargne d’entreprise offre de nombreux avantages fiscaux et financiers, permettant aux salariés de faire fructifier leur argent tout en bénéficiant d’un accompagnement de leur employeur.
Que ce soit pour se constituer un capital, préparer sa retraite ou bénéficier d’un complément de revenu, ces dispositifs sont des solutions performantes et sécurisées.
Quoi de plus captivant que LinkedIn ? Ce réseau social professionnel qui nous fait parfois l’effet d’un bal masqué numérique où chacun tente de se montrer sous son meilleur jour. Mais derrière les profils soigneusement peaufinés et les recommandations dithyrambiques, se cache un véritable trésor d’informations pour les recruteurs et les chercheurs d’emploi avisés. Alors, prêts à plonger dans les arcanes de cette plateforme incontournable ? Accrochez-vous, ça va secouer !
Décoder les profils LinkedIn : l’art subtil du recrutement digital
Vous pensez que juger un livre à sa couverture est un faux pas ? Détrompez-vous ! Sur LinkedIn, la photo de profil et le résumé sont de véritables mines d’or pour les recruteurs perspicaces. J’ai vu des managers embaucher des candidats uniquement sur la base de leur sourire engageant ou de leur bio subtilement humoristique. Certes, ce n’est pas très scientifique, mais ça en dit long sur notre tendance à nous fier aux premières impressions.
Toutefois, ne vous y trompez pas : le véritable art du recrutement digital va bien au-delà de ces indices superficiels. Les recruteurs les plus affûtés scrutent les moindres détails :
Le nombre de connexions (être trop populaire, est-ce vraiment un gage de qualité ?)
La fréquence des publications (attention aux serial-posteurs !)
Les compétences mises en avant (et surtout, celles qui ne le sont pas)
Le parcours professionnel (les fameux « trous » dans le CV sont-ils vraiment des gouffres ?)
En 2023, une étude de la Harvard Business Review a révélé que 87% des recruteurs utilisent LinkedIn comme principal outil de sourcing. Autant dire que votre profil a intérêt à être à la hauteur !
Stratégies de recherche d’emploi : jouer la carte de l’authenticité
Vous pensez qu’il suffit de bombarder votre profil de mots-clés tendance pour attirer l’attention des recruteurs ? Désolée de briser vos rêves, mais ça ne marche pas comme ça. L’authenticité est la nouvelle monnaie sur LinkedIn. Et croyez-moi, en tant qu’ex-DRH adjointe d’une licorne française, j’en ai vu défiler des profils plus faux que des billets de Monopoly.
Voici quelques astuces pour vous démarquer sans perdre votre âme :
Racontez votre histoire, pas celle que vous pensez que les recruteurs veulent entendre
Mettez en avant vos réalisations concrètes, pas vos titres ronflants
Engagez-vous dans des conversations pertinentes, plutôt que de liker frénétiquement tout ce qui bouge
N’hésitez pas à montrer votre personnalité (oui, même si vous êtes fan de Harry Potter à 30 ans passés)
Et n’oubliez pas : votre réseau est votre meilleur allié dans votre quête d’emploi. Cultivez-le comme un jardinier passionné, et vous verrez fleurir les opportunités.
L’intelligence artificielle : nouvelle alliée du recrutement ?
Vous pensiez que l’IA allait remplacer les recruteurs ? Pas si vite ! Certes, les algorithmes font des merveilles pour trier les CV, mais ils ont encore du mal à détecter l’ironie dans une lettre de motivation. L’IA est un outil, pas une baguette magique.
Voici un petit tableau comparatif pour vous faire une idée :
Tâche
IA
Humain
Tri initial des CV
Excellente
Bonne
Détection des soft skills
Moyenne
Excellente
Évaluation de la culture fit
Faible
Excellente
Analyse des motivations profondes
Faible
Bonne
Alors, ne vous fiez pas aveuglément aux outils d’IA pour votre recherche d’emploi ou vos processus de recrutement. L’intuition humaine a encore de beaux jours devant elle !
D’ailleurs, saviez-vous que selon une étude menée par le MIT en 2022, les entreprises qui combinent IA et expertise humaine dans leur processus de recrutement ont 34% plus de chances de faire des embauches réussies sur le long terme ? Voilà qui devrait faire réfléchir ceux qui pensaient remplacer leurs RH par des robots !
Vers une nouvelle ère du recrutement digital
Alors, que nous réserve l’avenir du recrutement sur LinkedIn ? Si j’en crois ma boule de cristal (et mes années d’expérience dans le domaine), voici ce qui nous attend :
Des profils de plus en plus riches en contenu vidéo et interactif
Une importance croissante accordée aux soft skills et à l’intelligence émotionnelle
Des outils d’IA de plus en plus sophistiqués pour analyser les interactions sur la plateforme
Une valorisation accrue de l’engagement et de la création de contenu pertinent
Mais n’oublions pas l’essentiel : derrière chaque profil LinkedIn se cache un être humain avec ses forces, ses faiblesses et ses aspirations. Le véritable défi du recrutement digital sera de ne pas perdre cette dimension humaine dans la course à l’efficacité et à la data.
Et si vous voulez mon avis, les relations entre collègues resteront toujours au cœur du bien-être au travail, quelle que soit l’évolution des outils de recrutement.
Alors, prêts à modernis er votre approche de LinkedIn ? N’oubliez pas : dans ce grand bal masqué du recrutement digital, le meilleur déguisement reste encore… vous-même !
Quoi de plus intéressant que la jeunesse ? Toujours prête à bousculer les codes et à redéfinir les règles du jeu. En tant qu’ex-DRH, j’ai vu passer bon nombre de CV et de profils atypiques. Mais aujourd’hui, c’est une véritable révolution qui se joue sous nos yeux. Les millennials et la génération Z sont en train de réécrire les règles du succès financier, et croyez-moi, ça vaut le détour !
La quête d’autonomie : le nouveau Saint Graal des jeunes entrepreneurs
Fini le temps où l’on rêvait d’un CDI dans une grande boîte avec un baby-foot à la cafétéria. Les jeunes d’aujourd’hui ont d’autres ambitions, et elles sont pour le moins audacieuses. Selon une récente étude d’Intuit, près de deux tiers des 18-35 ans ont déjà lancé ou prévoient de lancer une activité parallèle en plus de leur emploi principal. Et attention, ce n’est pas qu’une lubie passagère : 65% d’entre eux comptent bien poursuivre leur aventure entrepreneuriale jusqu’en 2025 !
Mais qu’est-ce qui pousse ces jeunes loups à se lancer dans l’arène de l’entrepreneuriat ? La réponse est simple : l’autonomie. Près de la moitié des sondés (49% pour être précise) affirment vouloir être leur propre patron. Et je ne peux pas leur donner tort. Après tout, qui n’a jamais rêvé de pouvoir dire « Je suis mon propre N+1 » lors d’un entretien de recrutement ?
L’autre moteur de cette révolution entrepreneuriale ? La passion. 42% des répondants déclarent être motivés par l’envie de poursuivre leurs passions. Et franchement, quand on voit certains open spaces, on comprend pourquoi ils préfèrent travailler sur leurs projets personnels plutôt que de passer leur journée à compter les Post-it sur le mur des « valeurs de l’entreprise ».
Les défis de la génération side hustle : entre flexibilité et épuisement
Mais attention, la vie d’entrepreneur n’est pas un long fleuve tranquille. Le plus gros obstacle rencontré par ces jeunes hussards de l’entrepreneuriat ? Le temps. Ou plutôt, le manque de temps. 44% des sondés citent ce facteur comme leur principal défi. Et je les comprends : jongler entre un job principal, une activité secondaire, et une vie sociale, c’est un peu comme essayer de faire tenir trois réunions dans un créneau d’une heure. Mission impossible, sauf pour Tom Cruise peut-être.
Heureusement, la technologie vient à la rescousse de nos entrepreneurs en herbe. L’intelligence artificielle et les outils d’automatisation sont en train de changer la donne. Fini le temps où il fallait passer des heures à faire sa compta ou à répondre aux emails. Maintenant, un bot peut le faire pour vous pendant que vous sirotez tranquillement votre café matinal.
Voici un petit tableau récapitulatif des principaux défis et solutions pour la génération side hustle :
Défis
Solutions
Manque de temps
Outils d’automatisation, IA
Équilibre vie pro/perso
Flexibilité horaire, travail à distance
Gestion financière
Applications de comptabilité, conseils d’experts
Marketing
Utilisation des réseaux sociaux, content marketing
Les réseaux sociaux : le nouvel eldorado des entrepreneurs 2.0
Si vous pensiez que les réseaux sociaux ne servaient qu’à poster des photos de chats et à stalker son ex, détrompez-vous ! Pour la génération Z et les millennials, ces plateformes sont devenues de véritables armes de construction massive… de business !
Selon l’étude, plus de 44% des jeunes entrepreneurs utilisent Instagram, TikTok et LinkedIn comme principaux outils de marketing. Et ce n’est pas juste pour faire joli : 32% d’entre eux attribuent le succès de leur business directement à ces plateformes. C’est un peu comme si le networking se faisait maintenant à coups de hashtags et de danses TikTok plutôt qu’autour d’un verre de champagne tiède lors d’un séminaire d’entreprise.
Cette démocratisation de l’entrepreneuriat via les réseaux sociaux est fascinante. N’importe qui avec un smartphone et une bonne dose de persévérance peut désormais lancer son business. C’est un peu la version moderne du rêve américain, mais avec plus de filtres Instagram et moins de cheeseburgers.
Les avantages de l’utilisation des réseaux sociaux pour les jeunes entrepreneurs sont nombreux :
Accès direct à une audience ciblée
Coûts de marketing réduits
Feedback instantané des clients
Opportunités de collaboration avec d’autres créateurs
Possibilité de créer une marque personnelle forte
Vers un avenir entrepreneurial : la redéfinition du succès
Alors, que nous réserve l’avenir ? Si l’on en croit les chiffres, le mouvement des side hustles n’est pas près de s’arrêter. Concrètement, il pourrait bien devenir la norme plutôt que l’exception. Et franchement, quand on voit le taux d’échec ridiculement bas (seulement 3% des sondés rapportent avoir échoué dans leur entreprise), on se dit que ces jeunes ont peut-être trouvé la formule magique.
Ce qui est enchantant, c’est la rapidité avec laquelle ces entreprises deviennent rentables. En moyenne, il faut entre 3 et 6 mois pour atteindre la profitabilité. C’est plus rapide que le temps qu’il faut à certaines entreprises pour valider une note de frais !
Cette nouvelle génération est en train de redéfinir ce que signifie le succès financier. Il ne s’agit plus simplement d’avoir un gros salaire et une belle voiture de fonction. Non, pour eux, le succès c’est :
La liberté de choisir ses projets
La possibilité de poursuivre ses passions
L’équilibre entre vie professionnelle et personnelle
La création d’un impact positif sur le monde
Et si c’était ça, finalement, la vraie réussite ? Peut-être que ces jeunes entrepreneurs ont compris quelque chose que beaucoup d’entre nous ont mis des années à réaliser : que le vrai luxe, ce n’est pas l’argent, mais le temps et la liberté.
Alors, la prochaine fois que vous verrez un jeune tapant frénétiquement sur son smartphone, ne vous dites pas qu’il est en train de perdre son temps sur les réseaux sociaux. Il est peut-être en train de bâtir son empire. Et qui sait, peut-être qu’un jour, c’est lui qui vous offrira un emploi dans sa startup à succès !
Au programme de cet article : l’intelligence artificielle générative ! Ce petit bijou technologique qui fait trembler le marché du travail comme un stagiaire devant son premier entretien d’embauche. Laissez-moi vous conter comment cette révolution numérique est en train de bouleverser nos open spaces et nos freelances à vitesse grand V.
L’ia générative : une nouvelle ère pour l’emploi
Souvenez-vous de l’époque où Amazon a introduit ses robots Kiva dans ses entrepôts au début des années 2000. Les employés craignaient pour leur emploi, et pourtant, l’impact fut relativement modeste. Mais aujourd’hui, l’IA générative change la donne de manière spectaculaire. Elle ne se contente pas de remplacer quelques tâches par-ci par-là, non, elle s’attaque à tous les secteurs d’activité !
Une étude récente, qui sera bientôt publiée dans Management Science, révèle des chiffres qui donnent le vertige. Tenez-vous bien : après l’introduction de ChatGPT, on a observé une baisse de 21% des offres d’emploi en ligne pour les métiers susceptibles d’être automatisés. Et ce n’est pas fini ! Les jobs d’écriture ont pris une claque avec une chute de 30,37%, suivis de près par le développement logiciel et web (-20,62%).
Vous pensiez que seuls les métiers « intellectuels » étaient concernés ? Détrompez-vous ! Même les graphistes et les modélisateurs 3D ont vu leur demande dégringoler de 17,01% en un an. C’est à se demander si bientôt, on n’aura pas besoin d’un CV généré par IA pour postuler à un job… géré par IA. Un vrai cercle vicieux !
La compétition s’intensifie sur le marché du travail
Je vous le dis, c’est la jungle là-dehors ! Avec moins d’offres d’emploi, la concurrence fait rage. Les freelances se battent comme des lions pour décrocher les contrats restants. Résultat ? Une augmentation de 8,57% du nombre de candidatures par offre dans les secteurs automatisables. C’est un peu comme si on jetait un steak au milieu d’une meute de loups affamés.
Mais attendez, ce n’est pas tout ! Les employeurs deviennent plus exigeants. Ils recherchent des profils plus complexes, capables de jongler avec une multitude de compétences. La bonne nouvelle ? Ils sont prêts à mettre la main au portefeuille pour ces talents rares. Les salaires pour les postes automatisables ont augmenté de 5,71%. Pas mal, non ?
Voici un petit tableau récapitulatif pour vous y retrouver dans cette jungle digitale :
Catégorie de métier
Baisse des offres d’emploi
Augmentation des candidatures
Hausse des salaires
Écriture
30,37%
8,57%
5,71%
Développement logiciel/web
20,62%
8,57%
5,71%
Design graphique/3D
17,01%
Non spécifié
Non spécifié
S’adapter ou disparaître : le nouveau mantra du monde du travail
Alors, que faire face à cette vague d’IA qui déferle sur nos jobs ? Eh bien, comme dirait Clémence d’Auriac, cette RH qui n’a pas sa langue dans sa poche : « Spoiler alert : votre équipe se fiche de savoir si vous avez fait HEC. Elle veut juste un manager qui l’écoute. » Et j’ajouterais : « … et qui sait utiliser ChatGPT ! »
Car oui, mes chers amis, l’avenir appartient à ceux qui sauront dompter l’IA. Les offres d’emploi mentionnant explicitement « ChatGPT » comme compétence requise sont en hausse constante. C’est le moment de se former, de s’adapter, bref, de devenir les dompteurs de l’IA plutôt que ses victimes.
Voici quelques conseils pour survivre dans cette jungle numérique :
Formez-vous en continu aux outils d’IA
Développez vos soft skills (l’empathie, la créativité, le leadership)
Apprenez à collaborer efficacement avec l’IA
Restez à l’affût des nouvelles tendances technologiques
N’oublions pas que l’IA n’est qu’un outil. Un outil puissant, certes, mais qui ne remplacera jamais totalement l’intelligence humaine. Comme le disait si bien un certain Albert Einstein : « La créativité est l’intelligence qui s’amuse. » Alors amusons-nous avec l’IA, innovons, créons, et surtout, ne perdons pas notre humanité dans cette course à l’automatisation.
Au bout du compte, l’IA générative ne transforme pas seulement le marché du travail, elle nous pousse à nous réinventer. C’est une opportunité unique de repenser nos métiers, nos compétences, et pourquoi pas, notre rapport au travail. Alors, prêts à relever le défi ?
Ah, les candidats non retenus… Ces pépites que l’on laisse filer entre nos doigts comme du sable fin ! Mais ne vous en faites pas, je vais vous donner les clés pour réengager ces talents précieux et transformer vos « presque embauchés » en futurs collaborateurs stars. Après tout, qui n’a jamais rêvé d’une deuxième chance ?
Stratégies pour renouer le contact avec les finalistes
Vous vous souvenez de ce candidat brillant qui vous avait impressionné lors du dernier recrutement ? Celui que vous avez dû laisser partir à contrecœur ? Il est temps de le faire revenir dans la course ! Voici comment procéder :
1. Identifiez vos « médaillés d’argent » : Commencez par créer un vivier de talents spécifique pour ces candidats finalistes dans votre ATS (Applicant Tracking System). Étiquetez-les soigneusement pour pouvoir les retrouver facilement.
2. Personnalisez votre approche : Rappelez-vous des points forts de chaque candidat et utilisez ces informations pour créer un message sur mesure. Un petit « Hey Harry, on se souvient de votre passion pour les potions magiques ! » peut faire toute la différence.
3. Restez en contact régulièrement : Envoyez des mises à jour sur l’entreprise, des invitations à des événements locaux ou même un simple message pour prendre des nouvelles. L’important est de maintenir le lien.
Je sais ce que vous pensez : « Mais Clémence, j’ai déjà tellement de choses à faire ! ». Certes, mais croyez-moi, investir du temps dans ces relations peut vous faire économiser gros sur le long terme.
L’art délicat du rejet et ses conséquences
Parlons un peu de ce moment crucial où vous devez annoncer à un candidat qu’il n’est pas retenu. C’est un peu comme rompre avec quelqu’un : la manière dont vous le faites peut déterminer s’il y aura une deuxième chance ou non.
Voici un petit tableau récapitulatif des do’s and don’ts :
À faire
À éviter
Appeler personnellement
Envoyer un e-mail automatique froid
Être transparent sur les raisons
Rester vague ou mentir
Offrir un feedback constructif
Fermer complètement la porte
Exprimer de l’empathie
Être indifférent ou désagréable
Rappelez-vous : un candidat bien traité aujourd’hui peut être votre meilleur ambassadeur demain. Ou comme dirait Michael Scott de The Office : « Make friends first, make sales second, make love third. In no particular order. »
Technologie : votre alliée pour un réengagement efficace
Bien, maintenant que nous avons couvert les bases humaines, parlons un peu technologie. Parce que oui, même si je suis une amoureuse des relations humaines, je dois admettre que la tech peut considérablement faciliter le processus de réengagement.
Les outils de CRM (Customer Relationship Management) adaptés au recrutement sont vos meilleurs amis dans cette quête. Ils vous permettent de :
Enrichir automatiquement les profils des candidats avec des données actualisées
Programmer des séquences de messages personnalisés
Identifier les moments opportuns pour reprendre contact
Analyser l’engagement des candidats pour affiner votre stratégie
J’entends déjà certains dire : « Mais ça coûte cher tout ça ! ». Détrompez-vous, l’investissement dans un bon CRM peut s’avérer bien plus rentable que de relancer systématiquement de nouvelles campagnes de recrutement.
Selon une étude récente, les entreprises qui réengagent efficacement leurs anciens finalistes réduisent leurs coûts de recrutement de 25% en moyenne. Pas mal, non ?
Cultiver une relation à long terme avec vos talents
Réengager des candidats, c’est un peu comme entretenir un bon vin : ça demande du temps, de l’attention, et un zeste de créativité. Voici quelques idées pour maintenir l’intérêt de vos finalistes sur le long terme :
Créez une newsletter dédiée : Partagez les dernières nouvelles de l’entreprise, les succès, les nouveaux projets. Faites-leur sentir qu’ils font presque partie de l’aventure.
Organisez des événements exclusifs : Un webinaire, une table ronde, ou même un afterwork virtuel peuvent être l’occasion de garder le contact de manière informelle.
Proposez du mentorat ou des formations : Montrez-leur que vous investissez dans leur développement, même s’ils ne sont pas (encore) vos employés.
Sollicitez leur expertise : Demandez-leur leur avis sur un sujet lié à leur domaine. Ça les valorise et renforce leur connexion avec votre entreprise.
En 2023, une étude de LinkedIn a révélé que 72% des candidats réengagés acceptent une offre d’emploi lorsqu’elle leur est faite. C’est presque aussi élevé que le taux de réussite de Hermione Granger aux examens de Poudlard !
Souvenez-vous : le réengagement des meilleurs candidats non retenus n’est pas une tâche ponctuelle, c’est une stratégie à long terme qui peut transformer votre processus de recrutement. Alors, prêts à donner une seconde chance à vos talents oubliés ?